Tu as arrêté le temps de vie
Partie trop jeune, trop envahie
Par la souffrance du quotidien
Qui ne te servait plus à rien
La rage de la mort devenait
Plus fort que la raison de vivre
Plus faible ton âme s’effondrait
Tes espoirs devenaient ivres.
Le monde pouvait te regarder
Mais n’arrivait pas à le voir,
Ce cœur noyé et ensanglanté
S’étant explosé dans le noir
On te voyait en belle catin
Tu as plutôt écrit putain
Un jour tu t’es crue folle
Tu a eu tout un ras-le-bol
La vie t’a coûtée trop cher
S’accumulait les économies
De ton accablement amer
Tu en as dépensé ton dépit
Repose-toi enfin
Réveille-toi heureuse
Redeviens rêveuse
Reviendra ce beau matin
Partie trop jeune, trop envahie
Par la souffrance du quotidien
Qui ne te servait plus à rien
La rage de la mort devenait
Plus fort que la raison de vivre
Plus faible ton âme s’effondrait
Tes espoirs devenaient ivres.
Le monde pouvait te regarder
Mais n’arrivait pas à le voir,
Ce cœur noyé et ensanglanté
S’étant explosé dans le noir
On te voyait en belle catin
Tu as plutôt écrit putain
Un jour tu t’es crue folle
Tu a eu tout un ras-le-bol
La vie t’a coûtée trop cher
S’accumulait les économies
De ton accablement amer
Tu en as dépensé ton dépit
Repose-toi enfin
Réveille-toi heureuse
Redeviens rêveuse
Reviendra ce beau matin
Écrit en octobre 2009
Source de la photo:
http://www.radio-canada.ca/prixlitteraires/francais/evaluation2007.shtml
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